Les personnes qui découvrent les outils d’Access Consciousness ont souvent l’impression d’être dépassé par la quantité d’outils disponibles. Comment savoir lequel utiliser et quand ?
Le conseil que je donne aux participants de mes classes c’est d’en prendre un à la fois et de l’appliquer de façon diligente pendant un à trois jours dans son quotidien. Peu importe lequel, pendant quelques heures à quelques jours voire quelques semaines, on porte son attention sur un outil en particulier et on observe comment il impacte notre quotidien, quelles sont les situations qui changent quand on l’utilise et quelles sont les situations qui n’ont pas l’air d’être impactées.
Et à force d’utiliser les outils d’Access Consciousness, il arrive toujours un moment où l’un ou l’autre des outils devienne un compagnon de route plus « présent » pendant un certain temps. Un outil « d’élection » car on remarque à quel point il peut s’appliquer à beaucoup de situations. A mes yeux, l’outil « couteau suisse multifonctions » c’est : point de vue intéressant que j’aie ce point de vue. Car il peut littéralement changer TOUS les aspects de votre vie si vous êtes prêt à l’utiliser. Et même si ça fait quatre ans que je l’utilise plus ou moins régulièrement, plus je l’utilise, plus je comprends à quel point il est essentiel et puissant. Car nos points de vue créent notre réalité, non l’inverse.
Et très souvent, nous avons des points de vue inconscients, sous-jacents qui nous impactent sans nous en rendre compte. Et accéder à ces espaces-là demande de mettre en place certains éléments : une honnêteté brutale envers soi-même, une attention méticuleuse de nos pensées et dynamiques de réflexion et la volonté de tout accueillir pour ce que c’est.
A quoi ça correspond dans la réalité ? Récemment, j’étais en train de faire des rangements chez moi quand je me suis mise à écouter mon discours intérieur, ce à quoi je pensais et comment j’ordonnais mes pensées. Et c’était vraiment ça, de l’observation. Je ne me laissais pas prendre par celles-ci, j’étais juste à l’écoute. Et à un moment je me suis entendue penser : mais de toute façon, tout ce que je veux c’est une vie pépère… Et l’énergie qui soutenait cette pensée était tellement bizarre dans mon monde que je me suis dit immédiatement : hé, est-ce que c’est vrai ça ? Et en posant cette question, j’ai pris conscience que c’est ce que ma mère et mes grand-mères souhaitaient pour moi, c’est ce que mon mari projetais sur moi, et j’ai aussi eu en même temps l’image d’une des dernières vies que j’ai vécues où je suis morte assassinée en voulant changer la société dans laquelle je vivais et suite à ça, j’ai décidé que la prochaine vie serait plus pépère… Et à nouveau, tout ce processus je le « voyais » en spectateur, j’écoutais ce qui remontait en moi en portant mon attention sur les idées qui faisaient surface. Et à chaque idée qui montait « tout ce que j’ai toujours voulu c’était une vie pépère », « ma mère et mes grands-mères avaient raison de vouloir ça pour moi », « il peut aller se faire foutre mon mari avec ses projections », etc... j’utilisais « point de vue intéressant que j’aie ce point de vue » trois, cinq, dix, vingt fois jusqu’à que CHAQUE croyance, chaque point de vue se dissolve, ne semble plus être une solidité dans mon monde. Et ce processus s’est déroulé sur plusieurs jours. Pendant plusieurs jours, j’avais d’autres croyances, d’autres éléments qui remontaient à la surface. Et à chaque fois, j’ai utilisé cet outil. Et au fur et à mesure du processus, des éléments qui me coinçaient, semblaient impossibles au départ sont devenu de plus en plus faciles et possibles.
Par exemple, cela fait un certain temps que je désirais commencer aussi à faciliter en anglais. Mais l’idée même de « s’attaquer » à ce marché, autrement dit le monde, me semblait insurmontable car ça entrait en conflit total avec le point de vue d’une vie pépère. Et le point de vue de désirer une vie pépère était tellement sous-jacent que je ne le voyais même pas. Tout ce que je voyais, c’est que chaque fois que je tentais d’aller dans la direction de faire des classes ou téléclasses en anglais, je laissais tomber avant même de commencer. Ce n’est pas un truc que je me répétais au quotidien, ce n’était même pas sur mon radar. Mais dès que je tentais quelque chose qui mettait cette croyance en péril, j’avais l’impression de faire l’ascension de l’Everest en tongs avec de la neige fraiche jusque sous les aisselles…
Alors quand quelque chose vous semble impossible, insurmontable, inchangeable, c’est que vous avez au moins un point de vue fixe en place dont vous n’avez pas forcément conscience. Mais il est là et c’est lui qui dirige le show ! Même (et surtout) quand vous dites : mais je choisis autre chose !!! En apprenant à écouter vos points de vue et à les envisager comme n’étant que des points de vue intéressants, vous ouvrez la porte à des possibilités que vous n’aviez même pas soupçonnées. Maintenant, l’idée de commencer à faciliter en anglais me semble simple et joyeuse. Quelles nouvelles aventures m’attendent ?
Le seul moyen de changer de réalité est de changer de point de vue. Peu importe l’outil que vous utilisez, le résultat final sera toujours un changement de point de vue quand vous désirez changer quelque chose. C’est la raison pour laquelle Gary Douglas, le fondateur d’Access Consciousness nous invite à utiliser « point de vue intéressant que j’aie ce point de vue » pendant au moins 6 mois, voire une année pour les plus courageux, pour CHAQUE point de vue qui vous passe par la tête. Et au bout de ce temps-là, plus rien dans votre vie n’aura la possibilité de vous coincer car tout sera devenu un point de vue intéressant, et vous saurez que vous pouvez changer de point de vue dès que vous le désirez, et donc transformer votre réalité à chaque instant. Êtes-vous prêt à avoir ce genre de liberté ? Personnellement, j’ai choisi que 2017 serait cette année-là pour moi. Qui me rejoint ?
Et si vous faites partie de ces personnes qui ont l’idée qu’elles ne tiennent pas la distance, et si ce n’était qu’un point de vue intéressant ? Après, ce genre d’aventure sur le long terme est parfois plus simple en groupe, pour recevoir l’aide et le soutient d’autres personnes qui vivent les mêmes tribulations que nous : que ce soit des moments d’allégresse et d’ouverture que de doute ou d’abattement, pouvoir partager, échanger, peut faire la différence entre ceux qui tiennent et ceux qui abandonnent. Alors si cette aventure à plusieurs vous tente, vous retrouvez tous les détails sur ce lien d’un programme que j’ai mis en place pour être exactement le genre de soutien qui vous aidera à passer les écueils que toute aventure rencontre forcément !
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